Gloria E. Clarke
❥Nombres de glaces mangées : 18 ❥J'ai vue le jour le : 04/09/1982 ❥Je suis arrivé(e) à Florence le : 19/02/2012 ❥Age : 41 ❥Localisation : Florence ┼ l'amo da morire ┼ Brisé la glace ❥Disponibilité rp: Je suis disponible ❥ton groupe: L'Eau ❥Ta chanson du moment: Titanium - David Guetta & Sia Brisé la glace ❥Disponibilité rp: Je suis disponible ❥ton groupe: L'Eau ❥Ta chanson du moment: Titanium - David Guetta & Sia
| Sujet: Grrrrrr [Beatriz] Lun 19 Mar - 13:15 | |
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Il faisait beau aujourd'hui sur la belle ville de Florence, c'était un temps qui vous mettait de bonne humeur. En, ouvrant ses volets, Gloria Clarke avait immédiatement eut envie de sortir. Alors elle avait pris une douche rapide avant d'enfiler un jean et un chemisier. Une paire de Louboutin et la brune était dehors, son visage caressé par les rayons du soleil. La jeune femme marchait sans but réel. Elle avait juste voulu promener. Elle en profitait, ceci dit, pour faire un peu de lèche-vitrine, craquant parfois. De fait, après deux-heures de marche, la demoiselle se retrouvait chargée de paquets et de sacs mais ce n'était pas un problème. Le temps la mettait de bonne humeur et le temps était propice à l'achat. Rien n'aurait put ternir sa joie communicative. Enfin, presque rien. Bientôt, la demoiselle aperçut sa belle-mère qui arrivait à contre-sens, encore loin devant. Le visage de la mannequin se rembrunit. Ses yeux jetaient des éclairs en direction de cette *BIP*... Tout son cœur brûlait sauvagement. cette femme au loin ne perdait rien pour attendre. Un jour, Gloria mettrait ses méfaits au grand jours. Aujourd'hui, elle ne vivait plus que dans cet optique là. Plus que pour ce jour où elle pourrait faire payer ses crimes à cette mégère fière qui pourrissait la mémoire de monsieur Clarke, en vivant encore, confortablement, grâce à son héritage. Gloria bouillonnait de plus en plus au fur et à mesure que l'autre femme approchait.Ses poings se serraient, sa mâchoire se crispait. Et ses yeux lançaient toujours des éclairs. Qu'il serait heureux de pouvoir frapper cette garce que la brunette haïssait plus que tout. Mais elle ne pouvait pas. Alors elle encaissait le coup pour ne pas en donner un, justement. Bientôt, les regards se croisèrent. Et Gloria alla se planter devant Beatriz, le regard furibond. "- Tout va comme tu veux, ça va ?" dit elle sur un ton qui ne cachait rien de sa colère.
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